Les sea girls au pouvoir !

Les sea girls au pouvoir !

Un coup d’état, ça s’organise, surtout s’il est exclusivement musical.
C’est le projet des Sea Girls, qui s’inspirent très librement de l’Assemblée des femmes d’Aristophane, et comptent sur le public pour prendre part aux
débats, jusqu’à l’élection de leur porte parole.
Elles ont rangé les plumes et les paillettes, qu’elles arboraient dans leur cabaret « La Revue », présenté au Théâtre du Blavet en 2015. Avec leurs nouvelles chansons en cartouchières, ces amazones de la musique ont décidé de faire changer le cours de l’Histoire, tout en restant fidèle à leurs idéaux, et sans se perdre dans les rivalités qui affleurent… Tout un programme !
L’énergie et l’humour suffiront-ils à la réussite du gouvernement Sea Girls ?
Si vous aimez Les parapluies de Cherbourg, Freddie Mercury, Starmania, Les who et La belle Hélène, votez Sea Girls !

CITATION PRESSE :

« On ne se lasse pas du talent comique et musical de ces quatre délirantes sirènes. » – Le Parisien

Les Sea Girls

Complet

10 Janvier 2020

Complet

Théâtre du Blavet

 1H30mn

Dès 10ans

Les sea girls au pouvoir !

Un coup d’état, ça s’organise, surtout s’il est exclusivement musical.
C’est le projet des Sea Girls, qui s’inspirent très librement de l’Assemblée des femmes d’Aristophane, et comptent sur le public pour prendre part aux
débats, jusqu’à l’élection de leur porte parole.
Elles ont rangé les plumes et les paillettes, qu’elles arboraient dans leur cabaret « La Revue », présenté au Théâtre du Blavet en 2015. Avec leurs nouvelles chansons en cartouchières, ces amazones de la musique ont décidé de faire changer le cours de l’Histoire, tout en restant fidèle à leurs idéaux, et sans se perdre dans les rivalités qui affleurent… Tout un programme !
L’énergie et l’humour suffiront-ils à la réussite du gouvernement Sea Girls ?
Si vous aimez Les parapluies de Cherbourg, Freddie Mercury, Starmania, Les who et La belle Hélène, votez Sea Girls !

CITATION PRESSE :

« On ne se lasse pas du talent comique et musical de ces quatre délirantes sirènes. » – Le Parisien