De Peigne et de Misère

De Peigne et de Misère

Petites lunettes rondes et gouaille ravageuse, Fred Pellerin est un phénomène dans le monde des conteurs qui comptent. Star totale outre-Atlantique, il fait vivre les légendes de son village natal Saint-Elie-de-Caxton, petite bourgade du Québec où les lutins et les fées s’écrasent dans les pare-brise le soir. 

Cette fois-ci, le conteur s’attache à Méo, coiffeur ou décoiffeur du village et barbier de sévices, amoureux de la belle Lurette, fille du forgeron. Un héros qui tint chignon sur rue principale pendant de nombreuses années et qui marqua l’histoire de son fer à friser. Un maître dans l’art du sarclage, habile à trier les cheveux blancs et les idées noires. Antidote imparable à la morosité.

Fred Pellerin, acrobate verbal au look d’éternel ado mais aussi musicien aguerri, ne fait pas qu’inventer des histoires, il crée une langue. Une langue travaillée par cinq générations de « parlure » québécoise. Une langue désopilante débitée à la mitraillette, triturée, improvisée, poétique, jouant avec les codes du vocabulaire alambiqué de là-bas et des préjugés bien de chez nous.

“ Il ne faut pas se poser de questions, prendre sous le bras la mémé, votre chéri(e), un petit-neveu… tout ce qui vous traîne sous la main et aller voir ce Fred Pellerin.[…]
Un spectacle de Fred Pellerin n’est pas une discussion de salon, encore moins une veillée, c’est une séance en laboratoire d’improvisation et de délire langagier. Et ça gicle de partout.[…] Ce qui fait le sel, la drôlerie, la poésie de ses histoires, c’est son concassage du français.” Grégoire Biseau / Libérationl juin 2013

Fred Pellerin

Complet

12 Octobre 2014

Complet

Théâtre du Blavet

 1H30mn

Dès 12ans

De Peigne et de Misère

Petites lunettes rondes et gouaille ravageuse, Fred Pellerin est un phénomène dans le monde des conteurs qui comptent. Star totale outre-Atlantique, il fait vivre les légendes de son village natal Saint-Elie-de-Caxton, petite bourgade du Québec où les lutins et les fées s’écrasent dans les pare-brise le soir. 

Cette fois-ci, le conteur s’attache à Méo, coiffeur ou décoiffeur du village et barbier de sévices, amoureux de la belle Lurette, fille du forgeron. Un héros qui tint chignon sur rue principale pendant de nombreuses années et qui marqua l’histoire de son fer à friser. Un maître dans l’art du sarclage, habile à trier les cheveux blancs et les idées noires. Antidote imparable à la morosité.

Fred Pellerin, acrobate verbal au look d’éternel ado mais aussi musicien aguerri, ne fait pas qu’inventer des histoires, il crée une langue. Une langue travaillée par cinq générations de « parlure » québécoise. Une langue désopilante débitée à la mitraillette, triturée, improvisée, poétique, jouant avec les codes du vocabulaire alambiqué de là-bas et des préjugés bien de chez nous.

“ Il ne faut pas se poser de questions, prendre sous le bras la mémé, votre chéri(e), un petit-neveu… tout ce qui vous traîne sous la main et aller voir ce Fred Pellerin.[…]
Un spectacle de Fred Pellerin n’est pas une discussion de salon, encore moins une veillée, c’est une séance en laboratoire d’improvisation et de délire langagier. Et ça gicle de partout.[…] Ce qui fait le sel, la drôlerie, la poésie de ses histoires, c’est son concassage du français.” Grégoire Biseau / Libérationl juin 2013