Tria Fata

Tria Fata

Une vieille dame, dont l’heure est venue avec celle du spectacle, entend bien retarder l’échéance finale. Elle entame alors, pleine de ressources, des négociations avec la Grande Faucheuse.
Maîtresse de la destinée humaine, la Mort, fileuse à ses heures, accepte bon gré malgré de dérouler le fil de son existence.
Des grandes étapes d’une vie aux rites de passage, c’est l’histoire d’une femme qui se dérobe, avec ses rires et ses larmes. 

Sur la scène de ce cabaret improbable, les fils de la vie sont tissés, déroulés, rompus, comme sur le métier à tisser des Trois Parques (Tria Fata) : Nona, Decima et Morta, celle qui fait naître, celle qui fait vivre et celle qui tue. 

La marionnettiste Estelle Charlier multiplie les formes, manipulant à vue, jouant, changeant de masque avec une grande virtuosité. De son côté, l’homme-orchestre Martin Kaspar Läuchli alterne quant à lui les instruments, dans une frénésie et une ardeur communicative. Tous deux offrent un véritable tourbillon onirique où poupées, humains et grands archétypes mutent et s’intervertissent.

Après avoir tourné dans le monde entier avec l’inusable Poli Dégaine, La Pendue nous présente sa toute dernière création.

Compagnie de la Pendue

places disponibles

20 Février 2018

Annulé

Théâtre du Blavet

 55mn

11ans

Tria Fata

Une vieille dame, dont l’heure est venue avec celle du spectacle, entend bien retarder l’échéance finale. Elle entame alors, pleine de ressources, des négociations avec la Grande Faucheuse.
Maîtresse de la destinée humaine, la Mort, fileuse à ses heures, accepte bon gré malgré de dérouler le fil de son existence.
Des grandes étapes d’une vie aux rites de passage, c’est l’histoire d’une femme qui se dérobe, avec ses rires et ses larmes. 

Sur la scène de ce cabaret improbable, les fils de la vie sont tissés, déroulés, rompus, comme sur le métier à tisser des Trois Parques (Tria Fata) : Nona, Decima et Morta, celle qui fait naître, celle qui fait vivre et celle qui tue. 

La marionnettiste Estelle Charlier multiplie les formes, manipulant à vue, jouant, changeant de masque avec une grande virtuosité. De son côté, l’homme-orchestre Martin Kaspar Läuchli alterne quant à lui les instruments, dans une frénésie et une ardeur communicative. Tous deux offrent un véritable tourbillon onirique où poupées, humains et grands archétypes mutent et s’intervertissent.

Après avoir tourné dans le monde entier avec l’inusable Poli Dégaine, La Pendue nous présente sa toute dernière création.