La Soirée des Grands Mômes
La Soirée des Grands Mômes
On l’attend avec impatience cette soirée petites formes pour les grands, qui se glisse dans la programmation des Salles Mômes pour la troisième année. C’est que l’art du décalage et de l’impertinence, particulièrement fécond dans le domaine de la marionnette et du théâtre d’objet, trouve sa quintessence dans les petites formes.
Cette année, c’est la Compagnie À qui s’y colle avec un programme des plus détonnants : « deux solos de théâtre d’objets, inventifs et singuliers, par la discrète mais néanmoins farfelue Dorothée Saysombat. Et faits avec presque rien : peu de mots, quelques mimiques, des cartes postales pour « La Chambre 26 » ou des bondieuseries pas très catholiques pour « Ma foi ». Dans le premier, elle réveille une vie abandonnée au fond d’un tiroir. Dans le second, plus facétieux, elle reformule l’intrigue du « Concile d’amour », d’Oskar Panizza, transformant la tragédie céleste en un cours de catéchisme sexuel sur les MST. Le diable inventa la syphilis, Dieu, la pénitence, et Dorothée, fille improbable de Tex Avery et de sœur Sourire, l’indulgence par le rire. Irrévérencieux certes, mais délicieusement chaste ! » – Thierry Voisin – Télérama 02/2011
Dorothée Saysombat
Complet
5 Novembre 2016
Théâtre à La Coque
1H30 avec entracte
Dès 12ans
La Soirée des Grands Mômes
On l’attend avec impatience cette soirée petites formes pour les grands, qui se glisse dans la programmation des Salles Mômes pour la troisième année. C’est que l’art du décalage et de l’impertinence, particulièrement fécond dans le domaine de la marionnette et du théâtre d’objet, trouve sa quintessence dans les petites formes.
Cette année, c’est la Compagnie À qui s’y colle avec un programme des plus détonnants : « deux solos de théâtre d’objets, inventifs et singuliers, par la discrète mais néanmoins farfelue Dorothée Saysombat. Et faits avec presque rien : peu de mots, quelques mimiques, des cartes postales pour « La Chambre 26 » ou des bondieuseries pas très catholiques pour « Ma foi ». Dans le premier, elle réveille une vie abandonnée au fond d’un tiroir. Dans le second, plus facétieux, elle reformule l’intrigue du « Concile d’amour », d’Oskar Panizza, transformant la tragédie céleste en un cours de catéchisme sexuel sur les MST. Le diable inventa la syphilis, Dieu, la pénitence, et Dorothée, fille improbable de Tex Avery et de sœur Sourire, l’indulgence par le rire. Irrévérencieux certes, mais délicieusement chaste ! » – Thierry Voisin – Télérama 02/2011